M.Février est le dirigeant des Ambulances Février à Langon et au Grand-Fougeray (35). Chez les Février, le métier du transport de personnes est une histoire de famille. Jean-Alexis Février nous parle des problématiques que rencontrent les ambulanciers situés en zone rurale. Sans oublier, de présenter ses ambulances et d’expliquer comment il a commencé à travailler avec BSE.
Quel est l’historique de l’entreprise ?
L’entreprise en est à sa 3ème génération ! Mes grands-parents tenaient le café dans le bourg du village. Un jour, mon grand-père a décidé d’acheter un véhicule pour raccompagner les clients chez eux.
En 1979, en sortant de l’armée, mon père acheté une ambulance, pour prolonger l’activité créée par mon grand-père.
Quant à moi, j’ai démarré dans le métier par du transport de colis. Le milieu de l’ambulance m’attirait beaucoup plus. Alors j’ai passé tous les diplômes (DEA, Permis taxi et formation funéraire) et suis devenu ambulancier, en reprenant l’activité créée par mon père. Ce dernier travaille toujours à mes côtés à mi-temps, tout comme ma mère et ma femme, qui a été séduite par le métier. Nous faisons également du funéraire depuis quelque temps.
Vous appartenez au groupement TSI (Transport Sanitaire Indépendant), que pouvez-vous nous en dire ?
TSI est un groupement d’ambulanciers indépendants. Il fédère 115 entreprises, 1800 collaborateurs et 1250 véhicules (dont 315 ambulances) sur la Bretagne. Cette organisation offre les atouts d’un groupe structuré tout en préservant l’indépendance de chacun.
L’optimisation des transports est plus que jamais cruciale du fait de la hausse du prix du carburant.
Quels sont les grands défis qui se présentent à vous aujourd’hui ?
Rien n’est gagné d’avance ! Nous devons redoubler d’effort pour satisfaire notre patientèle. Et ce n’est pas toujours facile.
L’optimisation des transports est plus que jamais cruciale du fait de la hausse du prix du carburant. Une revalorisation de notre tarification ambulance et VSL serait indispensable.
Comment est composé votre parc de véhicules ?
La société possède 2 ambulances (ASSU) de chez BSE : un Renault Master et un Peugeot Boxer.
Nous possédons également 4 taxis, 4 VSL et 4 véhicules de transports de voyageurs (minibus ou berline).
Quels sont vos critères de choix d’une ambulance ?
La réputation de l’entreprise est très importante. Un collègue ambulancier exploite des ambulances BSE et m’a donné le contact du commercial.
Concernant le SAV et le suivi du véhicule, rien à redire.
Il était important pour moi que l’environnement de travail soit identique dans chacune des ambulances de la société. C’est un gain d’efficacité et de confort indiscutable pour les collaborateurs.
Force est de constater que ça ne bouge pas et pourtant on sollicite nos ambulances tous les jours !
Qu’appréciez-vous dans les ambulances BSE ?
Dans l’agencement, j’ai apprécié la qualité. Nous, ce qu’on veut c’est que ça tienne. Et là, force est de constater que ça ne bouge pas et pourtant on sollicite nos ambulances tous les jours ! J’ai aussi aimé la possibilité d’adapter l’agencement selon mes besoins.
Le traitement antibactérien et antiCovid-19 rassure également, nos collaborateurs et nos patients.
Pour l’esthétique du véhicule, j’avais demandé à ce que les coques de rétroviseurs et les parechocs soient peints en blanc.
Avez-vous apprécié la relation commerciale avec BSE ?
Oui, beaucoup ! Frédéric Baïzé, le commercial Grand Ouest, a su être très à l’écoute et très réactif. Encore aujourd’hui, il m’appelle souvent, juste pour savoir si tout va bien.
Lors de la commande de notre premier véhicule, il y eu un souci dans la livraison. BSE nous a prêté un véhicule pendant 1 mois. Super arrangeant !
Comment voyez-vous l’ambulance dans 10 ans ?
Le monde du transport sanitaire bouge pas mal. Aujourd’hui déjà, on fait les bilans sur tablette et on les envoie directement au SAMU. On commence à faire des visio avec les médecins régulateurs. Ainsi, il voit directement le patient. La technologie va donc continuer à se déployer.
Dans 10 ans, l’électrique nous concernera, mais alors il faudra adapter l’autonomie des batteries pour notre utilisation. Comme nous sommes à 60 kms de Rennes et 75 kms de Nantes, nous faisons beaucoup de kilomètres dans la journée.
Et l’ambulance dans 100 ans ?
Dans 100 ans, l’ambulance sera peut-être volante… Peut-être que des drones pourraient assurer des transports pour de simples consultations. Cependant, je pense que, dans notre métier, rien ne pourra remplacer l’humain dans la prise en charge de l’urgence pré hospitalière.
Est-ce que vous seriez prêt à recommander BSE ?
Oui, et je le fais déjà ! J’ai aussi l’occasion d’inviter le commercial de BSE pour parler de son offre lors d’une réunion d’ambulanciers.
Pour en savoir plus :
- Site web
- Agence de LANGON : 27 rue de Renac, 35660 LANGON
- Agence de GRAND-FOUGERAY : 11 Parc des Lizardais, 35390 GRAND-FOUGERAY