Découvrez les collaborateurs et les métiers derrière les ambulances BSE

Métiers collaborateurs BSE Ambulances
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Entre sa conception et son exploitation, une ambulance suit un long parcours, au cours duquel interviennent des dizaines de métiers différents. Dans cet article, nous présentons deux métiers et deux collaborateurs. L’un se positionne au départ de la phase de production de l’ambulance et l’autre juste avant la remise des clés au client.

Qui êtes-vous ? Que faites-vous chez BSE ? 

Hugo Lafargue
Je suis Hugo Lafargue, j’ai 25 ans et je suis depuis bientôt 2 ans chez BSE, intégré au service « Méthodes ». Ce service a été créé à mon arrivée, pour accompagner le développement de la société.

Julien Tissier
Je m’appelle Julien Tissier, 30 ans, et 5 années d’ancienneté dans l’entreprise. J’y suis arrivé en tant que monteur, puis j’ai évolué vers la finition des véhicules, en fin de chaine. Et rapidement, 2 ans après, je suis passé chef d’équipe sur la fin de production (mécanique, électrique, montage).

H.L.
Pour résumer, je suis en amont de la fabrication, en ayant la tâche de trouver des solutions performantes, qualitatives et attrayantes, alors que Julien est en aval et s’attache à parfaire le véhicule avant la remise des clés aux clients.

J.L.
Bien que nous sommes éloignés dans la chaine de fabrication d’une ambulance, nous échangeons beaucoup lors des réunions. Le regard et l’expérience de chacun nous fait avancer sur nos problématiques.

Pouvez-vous nous présenter votre métier ?

H.L.
La mission principale du service « Méthodes » est de rendre la production plus performante, pour gagner en temps et en qualité, et pour proposer des véhicules avec un très bon rapport qualité/prix. Concrètement, mon travail consiste à optimiser les processus de fabrication des véhicules, en trouvant des nouveaux procédés et des nouveaux outils.

Plus précisément, le service « Méthodes » est chargé de la « standardisation ». C’est-à-dire qu’il conçoit des bases communes d’agencement pour les véhicules. Cela permet de mieux maitriser la qualité, le temps de montage et donc finalement le prix du véhicule. Une ambulance standardisée coutera toujours moins cher qu’une ambulance sur-mesure !

Un exemple concret : pour standardiser une porte, on va reprendre tous les plans en interne, recueillir les retours d’expérience et les exigences de chaque service, pour au final concevoir et fabriquer un produit parfaitement adapté à son utilisation finale.

J.T.
Le poste « Finition », intervient en bout de chaine et a la lourde tâche de livrer un véhicule impeccable (pose des joints de finition, installation du matériel propre à chaque client, en fonction des besoins, installation de petits matériels et des sièges en cellule).

Grâce au travail du service « Méthodes », on va avoir des plans carrés. Ainsi, on sait exactement ce qu’on doit faire, on gagne en efficacité, car on sait où trouver les infos.

Quelles sont les qualités pour exceller à votre poste ?

H.L.
Notre mission étant l’optimisation, il est indispensable d’être ouvert et à l’écoute des opérateurs sur le terrain, pour leur proposer des solutions. Je dirais que la communication est centrale dans mon métier. C’est le maillon essentiel pour s’assurer que la théorie rejoigne la pratique.

J.T.
Au poste de finition des ambulances, comme dans tous les postes opérationnels d’ailleurs, il est indispensable d’être minutieux et rigoureux. Cela passe par un auto-contrôle permanent pour traiter tous les problèmes dès qu’ils se présentent. Il faut avoir l’envie de rendre le véhicule plus attrayant que celui des concurrents, en offrant une perception de qualité immédiate supérieure.

Qu’est-ce qui vous plait, vous plait moins dans votre métier et dans ce domaine d’activité ?

H.L. :
Ce qui me plait, c’est d’effectuer un travail qui ne connait pas la routine. On travaille sur plein de choses, plein de projets. C’est un travail qui nécessite de l’action et du mouvement, car on est amené à beaucoup aller à l’atelier et à parler avec les collègues. Les objectifs de standardisation fixés amènent un petit challenge qui me plait bien. Aussi, je suis fier de croiser nos véhicules sur la route.

Ce que je n’aime pas ? Pas grand-chose en réalité. Éventuellement l’imprévu et les changements de dernière minute.

J.T. :
Quand je vois les véhicules qu’on sort, je suis fier de mon travail. Et en plus, notre métier de fabricant d’ambulances et de VSAV est quand même d’utilité publique.
J’aime également traiter des situations qui sortent de l’ordinaire, en direct avec le client, pour installer un certain type de matériel par exemple.
Je n’aime pas les imprévus, comme la plupart des gens d’ailleurs. Et paradoxalement, la répétition des tâches peut également s’avérer lassante, comme lorsqu’on sort une grosse série de véhicules identiques.

Quels sont vos parcours et formations avant d’arriver chez BSE ?

H.L. :
Je suis arrivé un peu par hasard dans l’entreprise, il y a un peu plus d’un an. Mon cursus a débuté par un DUT en génie mécanique et productique et s’est poursuivi par 3 années en école d’ingénieur en génie industriel.

J.T. :
Je suis de formation menuisier à la base, je suis entré chez BSE parce que j’avais envie d’évoluer dans mon métier. J’ai intégré BSE et ça m’a bien plus car c’est un environnement de travail propre et qualitatif.

Niveau perso, peut-on en savoir plus sur vous ?

H.L. :
Bien sûr ! Je suis un passionné de basket. Je pratique en compétition au niveau régional, et je suis également coach entraineur. Ça me prend tous les week-ends ! J’habite à la frontière avec les Landes, ce qui me vaut quelques taquineries de la part de mes collègues basques. C’est très bon enfant le Pays Basque ; c’est la camaraderie et le franc-parler.

J.T. :
Je suis également très sportif, depuis toujours. J’ai fait 10 ans de rugby, suis passé par l’aviron, la boxe, et aujourd’hui je pratique beaucoup le trail en montagne, notamment le soir en sortant du boulot. Je vais en montagne le plus souvent possible. Je suis bayonnais, je suis du Pays Basque, et je suis très attaché à ma région. Et pour rebondir sur la notion de camaraderie évoquée par Hugo, je dirais que ça se ressent beaucoup chez BSE. On organise souvent des repas d’entreprises, beaucoup de collaborateurs se retrouvent en dehors du travail pour faire du sport ensemble par exemple. Pour résumer, on est sérieux dans le travail et on profite bien à côté. La société se développe mais l’esprit convivial ne bouge pas.

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